» Depuis Février jusqu’en Mai, suivant le climat et la saison, mais surtout lorsqu’on n’a plus de gelées à craindre (à Paris, vers la mi-Avril), sur un terrain bien labouré et bien fumé, mais surtout bien ameubli et de nature légère, s’il est possible, on dresse des planches de 3 à 4 pieds de largeur ; on y trace des rayons espacés l’un de l’autre de 2 ou 3 pieds et 3 ou 4 pouces de profondeur ; la graine s’y sème très claire, et se recouvre très légèrement d’une ligne environ de terre ou de terrain, qu’on marche ou qu’on foule un peu ; au bout de quelques jours, si la saison est sèche, il est bon d’arroser de temps en temps, si on le peut ; mais pour peu qu’il pleuve, on en est dispensé, et plusieurs de nos semis ont été élevés sans ce secours ; quand les plantes sont levées, on les sarcle soigneusement ; on les éclaircit, on les bine à plusieurs reprises, en rapprochant un peu la terre de leurs pieds, prenant garde cependant de ne pas trop les enterrer, ou du moins de ne le faire qu’au fur et à mesure qu’elles prennent de la force ; quand elles sont assez grandes, on les butte alors complètement
Faut-il en conclure que Chopin, aussi, « manquait de sens et de goût musical », qu’il était unmusikalish ? « Nous nous sommes assurés, par des essais comparatifs, qu’il ne pourrait y avoir généralement aucun avantage dans la substitution des morceaux, des pelures, des germes, etc., aux tubercules entiers ; les faits que nous avons apportés à l’appui, dans le Mémoire qui fut honoré des suffrages de la Société royale d’Agriculture, ont été confirmés depuis par des expériences renouvelées plusieurs fois. On recourut alors aux moyens extrêmes, et l’on fit usage pour la plantation, de pelures, d’yeux, de morceaux et même de tubercules malades. Seulement, on pourrait objecter que ces expériences ne portaient que sur quatre plantations de tubercules de volume différent, et il ne faut pas avoir assisté à un arrachage de Pommes de terre pour ne pas se rappeler combien souvent est variable le nombre des tubercules que l’on récolte à chaque pied, dans les circonstances de culture ordinaire. Ainsi, mon ami Jean Hogheland m’écrivait que les pieds, qui étaient sortis de la semence que je lui avais envoyée, avaient donné des fleurs toutes blanches, mais qu’il avait constaté que ces pieds qu’il avait déterrés à la même époque où l’on déterre ceux qui ont été produits par des tubercules, n’avaient encore développé aucun de ces derniers, peut-être parce que les tiges n’avaient pas encore atteint leur maturité »
’une analyse physiologique qu’il avait faites sur des tubercules de trois variétés de Pommes de terre. On distinguait dans la nation des Galates trois peuplades : les Trocmes à l'E., les Tolistoboïes au S. O., les Tectosages au N. O. Ancyre était leur capitale. J'en ai roulées quelques-unes dans le traditionnel cacao amer et d'autres dans de la poudre de biscuits roses de Reims. Avec une cuillère, prélever environ 15 ml (1 c. à soupe) de ganache pour chaque truffe
truffes et nos champignons séchés façonner en boule entre les mains enrobées de cacao. Ajoutez une pincée de fleur de sel, le sucre glace et deux cuillères à soupe de caramel. Assaisonner d’une prise de sucre en poudre ; aviver la couleur avec une goutte ou deux de vert végétal ; faire la liaison avec 1 demi-œuf et 2 jaunes battus en omelette, et pocher. Pour quinze mille francs, on aurait pu marier les deux demoiselles, acheter une ferme ou mettre à la tontine
« Je n’ai, dit-il, jamais fait d’expériences sur les graines ; mais j’ai appris par d’autres personnes que, dans la même année, elles donnent aussi des fleurs dont la couleur paraît différer de celles de la plante-mère. La distance à laquelle on laissera les plantes devra dépendre de leur vigueur : 2 pieds, 2 pieds et demi d’éloignement en tous sens, seront un espacement convenable ; au surplus on ne peut rien prescrire de positif à cet égard, les espèces vigoureuses exigeant plus de place que les espèces faibles, surtout lorsqu’elles sont aidées par une saison favorable : il suffira de savoir que plus elles auront de liberté pour s’étendre, plus elles deviendront fortes, et plus leurs tubercules seront gros. Au bout de quelques années, on put abandonner ces procédés peu rémunérateurs, et le problème se posa de nouveau de savoir qu’elle était la meilleure méthode de plantation des tubercules : fallait-il choisir les plus gros, les moyens ou les petits ? Enfin, considérant « qu’à toute végétation vigoureuse correspond un rendement abondant ; à toute végétation grêle, au contraire, un faible rendement », M. Aimé Girard conclut définitivement en ces termes : « La question du choix du plant se trouve ainsi résolue : le cultivateur le doit prendre parmi les tubercules moyens, que mettent à sa disposition les pieds les plus vigoureux de sa récolte »